« Les écoles seront la dernière chose que nous fermerons et la première que nous ouvrirons », promettait la ministre suédoise de l’éducation, Anna Ekström, lors d’une conférence de presse, le 24 février. Depuis un an, tous les Etats européens sont confrontés au même dilemme, contraints de mettre en balance la sécurité sanitaire des populations et les dommages pédagogiques et psychosociaux engendrés par la fermeture des écoles.