Après AFFELNET, qui dans un premier temps, ne demande pas un travail très important mais qui dans un deuxième temps nous obligera à de la saisie avec la responsabilité que cela impose en cas d’erreur, voici venir “les évaluations en langues vivantes de fin CM2” et les “évaluations sciences et technologie de CM2”.
C’est très simple : on va sur des sites ministériels sur lesquels on récupère tout le matériel. Puis on imprime tout ça. Puis on lit et on essaie de comprendre. Ensuite on fait passer les épreuves aux élèves.
On corrige. On code. On saisit. On fait remonter tout ça dans des bases de données ministérielles avant le 19 juin.

Ca ressemble fortement aux évaluations CE1 et CM2. Pourtant ...

Temps accordé pour ce “petit” travail supplémentaire : 0 h 0 min 0 s.
Moyens financiers accordés pour les frais engagés : 0 € 0 c.
Rémunération pour toutes les heures supplémentaires que représente cette tâche : 0 € 0 c.

Aide proposée : 2 liens internet.

Evidemment ne parlons pas du temps d’enseignement perdu : il vaut mieux évaluer les élèves pour mettre en évidence leurs faiblesses que s’occuper à leur apprendre justement ce qu’ils ignorent.

Et à quoi sert toute cette dépense d’énergie ? A faire tourner les logiciels de statistique de ... de qui au fait ? la DEGESCO ? d’autres officines de “grands spécialistes de l’éducation” ? En tout cas, gageons que les statisticiens qui produiront de volumineux rapports et de beaux graphiques pour aider nos décideurs à nous montrer la “bonne direction” accompliront, eux, cette tâche ... sur leur temps de travail.

AFFELNET : la Résistance gagne du terrain dans le 65 !!!

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